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Moulin à vent du Vivier (Ancien) : Différence entre versions

De WikiNiort
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Il fut sans doute converti en logement, après son arrêt de fonctionnement.  
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'''Selon Paul Galteaux, c'est dans ce moulin aménagé que L'abbé Dellile a écrit son poème : "''Des Jardins''",''' à la fin du XVIIIe siècle.
  
 
Comme on le découvre sur la photo, il fut alors '''couronné d’un mur circulaire crénelé'''.
 
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Fichier:MO1845.jpg|l'Abbé Dellile de passage à la Folie. (fin XVIIIéme)
 
Fichier:VIVIER GALTEAUX 1910.jpg|Dessin : Paul Galteaux 1910.
 
Fichier:VIVIER GALTEAUX 1910.jpg|Dessin : Paul Galteaux 1910.
 
Fichier:1846 cad napo H.jpg |Extrait cadastre Napoléonien de 1846..
 
Fichier:1846 cad napo H.jpg |Extrait cadastre Napoléonien de 1846..
 
Fichier:Vue avion Terrasses.jpg|Les terrasses vue d'avion vers 1980, '''moulin sur la droite'''.
 
Fichier:Vue avion Terrasses.jpg|Les terrasses vue d'avion vers 1980, '''moulin sur la droite'''.
 
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Version du 2 avril 2018 à 17:43

Vestiges de l’ancien moulin à vent du Vivier, transformé en logement. (photo 2018)

Moulin à vent du Vivier

Caché entre les « Terrasses » et le château d’eau du Vivier, il apparaît, derrière les arbres, au promeneur de la rue du Vivier ou du stade Espinassou...

Ce moulin à vent qui trônait sur une hauteur, pouvait suppléer les moulins à eau de la Sèvre en cas de sècheresse.

Comme la plupart des moulins à vent de notre région, leur construction date du début du XIXe siècle.

On le découvre sur le plan du cadastre napoléonien de 1946 (Voir photo).

Son diamètre de base est d’environ 9 mètres.

Il fut sans doute converti en logement, après son arrêt de fonctionnement.

Selon Paul Galteaux, c'est dans ce moulin aménagé que L'abbé Dellile a écrit son poème : "Des Jardins", à la fin du XVIIIe siècle.

Comme on le découvre sur la photo, il fut alors couronné d’un mur circulaire crénelé.

Quatre gargouilles placées sur la périphérie, chacune à 90°, se détachent des murs.

Des ouvertures portes, fenêtres et cheminée y furent ajoutées.

Aujourd’hui, cet ancien moulin à vent puis ancien logement n’a plus de toit, ses entrées sont condamnées...

Source

  • Archives 79.
  • Paul Galteaux.
  • JMD


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